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Le cimetière des Chevrettes à Chambon (Indre-et-Loire) ou le groupe de Chambon

Gérard CORDIER
Publication date 25/03/2015
EAN: 9791090534278
Availability Available from publisher
La “culture de Chambon” fut créée en 1967 par Gérard Bailloud au vu des deux vases publiés (Cordier 1963) et des vases encore inédits du site des Chevrettes à Chambon (Indre-et-Loire) (fig. 8, n° 1 et 2). Celui-ci, tout en rapprochant ce site de celu... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherPUBLI CHAUVINOI
Page Count118
Languagefr
AuthorGérard CORDIER
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date25/03/2015
Weight800 g
Dimensions (thickness x width x height)0.00 x 21.00 x 29.70 cm
La “culture de Chambon” fut créée en 1967 par Gérard Bailloud au vu des deux vases publiés (Cordier 1963) et des vases encore inédits du site des Chevrettes à Chambon (Indre-et-Loire) (fig. 8, n° 1 et 2). Celui-ci, tout en rapprochant ce site de celui de La Goumoizière à Saint-Martin-la-Rivière (Vienne), n’en dissimulait cependant pas la lacune principale : “Dans les deux sites, le matériel lithique est à peu près inexistant ; la tombe de Chambon indique simplement l’usage de flèches à tranchant transversal”. “La céramique constitue un ensemble parfaitement original” où les “décors en moustaches” étaient remarqués notamment par Étienne Patte. Mais “sans doute, concluait G. Bailloud, est-il prématuré de discuter des affinités précises de cet ensemble culturel avant que la totalité du matériel soit publiée”. En dépit de cette prudente réserve partagée par la suite par divers auteurs, la “culture de Chambon” ou “groupe de Chambon” fit son chemin au-delà des espoirs de son inventeur et du fouilleur du site éponyme. Ceci, tantôt à la faveur de la relance des études sur le Néolithique promue par G. Bailloud, tantôt par une divulgation prématurée due à certains auteurs ayant quelque peu confondu commu-nication personnelle et référence bibliographique. Le tout pour aboutir à une savante confusion qu’on ne manquera pas d’expliquer par un retard de publication.Gérard CORDIERLa dimension codicillaire de cette publication en constitue tout l’intérêt ; elle complète et justifie l’œuvre du chercheur Gérard Cordier. Les textes fournis n’ont été soumis qu’à une relecture d’usage pour ne pas trahir sa pensée. Max Aubrun, Conservateur des musées de Chauvigny