Tant que je respire est un cri doux, un murmure profond, un souffle d’amour jeté contre l’absence. Chaque poème y raconte l’attente, la douleur, le manque… mais surtout, la présence invisible de ceux qu’on aime. Entre les pages, une mère, une femme, une âme parle avec tendresse, avec feu, avec pudeur. Elle parle aux absents, aux vivants, aux souvenirs, à l’espoir qui résiste. C’est un recueil écrit pour tenir debout. Pour se souvenir. Pour aimer, encore. Tant que l’on respire. Delia Lajus écrit pour donner voix à ce que le silence étouffe. Sa poésie, née du combat et de la tendresse, cherche dans chaque mot un peu d’apaisement. Tant que je respire est son premier recueil, un cri d’âme et d’espérance.