Animée par le désir de se dépasser, Marie-Line s'engage dans l'écriture d'un roman comme on entre en résistance : sans repères, mais avec une détermination farouche. Face à ses propres vertiges - la peur de l'échec, celle des vérités enfouies -, elle convoque une voix complice, une présence fictive pour ne pas sombrer dans la solitude. De cette lutte naît Noeud coulant maux passants, une oeuvre portée par une bande de jeunes âmes en quête de lumière au milieu des turbulences sociales, familiales et intimes. Ensemble, ils découvrent que prendre la parole, c'est déjà se libérer. Oser le mot, c'est oser vivre.