Treatment in progress...
Close notification

Our telephone...

is currently not working. We're doing all we can to get the problem solved as soon as possible. 
In the meantime, please use e-mail to contact us.

Display notification

Dante n'avait rien vu

Londres Albert
Publication date 30/01/2023
EAN: 9791041917051
Availability Available from publisher
«Biribi» désigne l'ensemble des pénitenciers militaires français Ce reportage de 1924 dénonce les pratiques cruelles dans ces unités au Maghreb. Perpétrés par des sousoffs sadiques, «ignorés» du commandement, ces faits sont racontés par des détenus d... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherSHS EDITIONS
Page Count188
Languagefr
AuthorLondres Albert
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date30/01/2023
Weight338 g
Dimensions (thickness x width x height)1.30 x 17.00 x 22.00 cm
Un essai d'Albert Londres sur les pénitenciers militaires français au Maghreb
«Biribi» désigne l'ensemble des pénitenciers militaires français Ce reportage de 1924 dénonce les pratiques cruelles dans ces unités au Maghreb. Perpétrés par des sousoffs sadiques, «ignorés» du commandement, ces faits sont racontés par des détenus dans des récits poignants, à peine commentés par l'auteur. À la fin de cet article l'auteur s'adresse au ministre de la guerre pour réclamer la suppression de ces établissements.Le succès de son reportage sur le bagne de Cayenne (Au bagne) décide Albert Londres à s'intéresser à d'autres geôles de la République. Il s'agit cette fois d'enquêter sur les bagnes militaires, situés pour la plupart en Afrique du Nord et dépendant du ministère de la Guerre. Malgré l'hostilité de la hiérarchie militaire, le grand reporter sillonne le Rif, recueillant les doléances des soldats bagnards. Sous le titre Biribi, son reportage est publié au printemps 1924. Pour répondre à la pression de l'opinion publique, le ministre de la Guerre se voit contraint d'envoyer sur place une commission d'enquête, et ce sera bien grâce à Albert Londres que les bagnes militaires et leurs odieux " travaux publics " seront définitivement supprimés en France.