Treatment in progress...
Close notification

We are back !

Welcome on your new side.fr !

Display notification

La femme qui gênait

Buelens Stéphanie
Publication date 14/09/2022
EAN: 9791033909729
Availability Available from publisher
Selon elle, il est coupable. Selon lui, elle délire. L’un d’eux ment. Convaincue que son ex-mari, Simon, a provoqué la mort de sa fille, Claire Fontaine tente désespérément d’avertir la nouvelle femme qu’il s’apprête à épouser : celle-ci est mère d’... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherHARPERCOLLINS
Page Count304
Languagefr
AuthorBuelens Stéphanie
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date14/09/2022
Weight162 g
Dimensions (thickness x width x height)1.30 x 10.80 x 17.00 cm
Selon elle, il est coupable. Selon lui, elle délire. L’un d’eux ment. Convaincue que son ex-mari, Simon, a provoqué la mort de sa fille, Claire Fontaine tente désespérément d’avertir la nouvelle femme qu’il s’apprête à épouser : celle-ci est mère d’une adolescente et, Claire en est persuadée, il va s’en prendre à elle.Simon, qui considère Claire comme une paranoïaque et une menteuse, décide d’embaucher Sloan Wilson. Ancienne policière de Los Angeles devenue détective privée, cette dernière est experte dans la gestion des affaires délicates de ceux qui ne souhaitent pas voir la police impliquée.Au fil de son enquête, Sloan découvre bien plus de zones d’ombre que prévu, tant du côté de son client que de celui de son ex-épouse.Plus la date du remariage approche, plus la tension monte. La vérité pourra-t-elle émerger malgré les peurs respectives, le désir de vengeance et les cadavres du passé qui menacent de resurgir ?Traduit de l’anglais (États-Unis) par Robert Pépin. À propos de l’autriceStéphanie Buelens est née en Belgique. Adjointe de direction et professeure de français pour étrangers, elle partage son temps entre Bruxelles et Los Angeles.« Glaçant. » James Patterson« Captivant. » Camilla Lackberg« Un thriller vif et sans temps mort, à lire d’une traite en retenant son souffle. » Kirkus Review