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Le monde mis en scène par CURZIO MALAPARTE

Manzano Aurélie
Publication date 07/09/2017
EAN: 9791023105407
Availability Available from publisher
Ce livre propose un parcours à la fois chronologique et thématique dans l’œuvre de Curzio Malaparte (1898-1957), journaliste, essayiste, prosateur, poète, romancier, mais aussi réalisateur, photographe ou architecte, passé du fascisme au communisme e... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherSORBONNE PUPS
Page Count400
Languagefr
AuthorManzano Aurélie
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date07/09/2017
Weight613 g
Dimensions (thickness x width x height)2.30 x 15.70 x 21.30 cm
Ce livre propose un parcours à la fois chronologique et thématique dans l’œuvre de Curzio Malaparte (1898-1957), journaliste, essayiste, prosateur, poète, romancier, mais aussi réalisateur, photographe ou architecte, passé du fascisme au communisme et au catholicisme - faisant de lui le miroir des contradictions de son temps.Journaliste, essayiste, prosateur, poète, romancier mais aussi à ses heures réalisateur, photographe ou architecte, Curzio Malaparte (1898-1957) reste, malgré un succès public durable qui dépasse largement les frontières italiennes, un oublié de l’histoire littéraire du xxe siècle. S’il suscite actuellement un regain d’intérêt, c’est surtout dans la mesure où sa participation aux deux guerres mondiales ainsi que sa trajectoire du fascisme au communisme et au catholicisme en font le miroir des contradictions de son temps. Or, est-ce bien là son principal mérite ?Aurélie Manzano propose un parcours à la fois chronologique et thématique dans l’œuvre malapartienne en s’appuyant sur l’analyse du rapport entre l’univers et la page écrite. La curiosité insatiable que l’écrivain projette sur le monde qui l’entoure dégénère, au contact de l’événement-guerre, en plongée macabre dans les atrocités de l’histoire. Les pages cruelles et hallucinées de Kaputt (1944) ou de La Pelle (1949) marquent l’apogée d’une écriture qui voudrait rendre compte de la réalité tout en refusant de s’en satisfaire. Face au visage décevant de l’histoire, Malaparte échafaude un rêve de « recommencement » à la fois individuel (grâce au « mythe de l’auto-engendrement ») et collectif (dans une perspective eschatologique), mais ne renonce jamais définitivement à poursuivre dans le monde cette quête désespérée de sens qui nous le rend si proche.