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Symphonie n°4 (conducteur A3)

Reber Henri, Lombart Jean-Charles
Publication date 01/10/2018
EAN: 9790231808735
Availability Available from publisher
Cette Quatrième Symphonie a très probablement été créée le 24 février 1857, à la Société des concerts du Conservatoire qui annonçait au programme une « symphonie nouvelle » d’Henri Reber. Les précédentes avaient été données pour la première fois dans... See full description
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Common books attribute
PublisherSYMETRIE
Page Count233
Languagefr
AuthorReber Henri, Lombart Jean-Charles
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date01/10/2018
Weight1600 g
Dimensions (thickness x width x height)3.00 x 29.70 x 42.00 cm
en sol majeur
Cette Quatrième Symphonie a très probablement été créée le 24 février 1857, à la Société des concerts du Conservatoire qui annonçait au programme une « symphonie nouvelle » d’Henri Reber. Les précédentes avaient été données pour la première fois dans les années 1840, dans le même cadre et aux concerts de la Société de Sainte-Cécile. Comme le soulignent les critiques de l’époque et le compositeur Camille Saint-Saëns, Reber est l’un des rares compositeurs français de son époque à s’intéresser au genre de la symphonie. Il y opère une synthèse des goûts français et germa­nique et montre son attachement à Mozart et Beethoven, « ses maîtres préférés » d’après Saint-Saëns. En ce qui concerne le caractère, c’est un véritable souffle qui anime toute cette symphonie dont l’aisance dans le développement des idées traduit l’aboutissement de l’identité musicale du compositeur. Le thème principal de cette ultime symphonie se démarque par sa simplicité, et l’héritage beethovenien y est fort présent, notamment par de brusques changements de couleurs et une tournure volontiers héroïque. Le second mouvement, en do mineur, rappelle quant à lui Mozart par le rôle donné à la clarinette et par l’atmosphère chambriste des soli. On note également dans ce deuxième mouvement une citation assez subtile du thème principal du dernier mouvement du Trio pour piano op. 1 no 3 de Beethoven. Après un scherzo dynamique, la symphonie se termine par un final joyeux et virtuose dans le ton principal. Le thème est présenté pp par des entrées en imitation entre les différents instruments du quatuor avant d’être repris par l’orchestre dans un tutti triomphal.Jean-Charles Lombartsous la direction scientifique de Anne-Sylvie Barthel-Calvet,(département de Musique et Musicologie UFR Arts Lettres et Langues-Metz, Université de Lorraine)