Jean Saut est mort sans avoir compris comment quatre cents, deux cents et au ?nal cent communistes condamnés au poteau d'exécution ont été remplacés par vingt-huit délinquants, pour la plupart mineurs. Cette énigme a taraudé l'esprit de mon ami, sous-?fre milicien. Pas le mien, je n'ai jamais été un vrai milicien !