Trous d'air dans nos vies, nos consciences, nos récits. Chute des corps, des anges et des particules en pluies de serpents ou de mots fugaces. Maisons qui penchent, savons qui fondent, historiens de l’inutile, poèmes suspendus, apologie des funambules… De Lucrèce à Primo Levi, cet automne, la moitié du fourbi nous rappelle qu’écrire, c'est tenir ; c’est tomber ; c’est danser. Sommaire : Julien d’Abrigeon/ AcméAdrien Genoudet/ Écrire en manches courtesNoëlle Rollet/ GravitéDaniel Levin Becker (de l’Oulipo)/ Ça tombe bienPhilippe Artières/ Plus dure sera la chuteCéline Bagault (textes) & Michele Gurrieri (photographies)/ Fratello soleLaure Samama/ Tomber encoreAnthony Poiraudeau/ Des restes du roi captifMarion Fayolle (dessins/textes)/ La maison nue (extraits)Zoé Cosson/ Anna perdueHélène Gaudy/ Fuites perpendiculairesLa mf/ Conversation avec Olivia RosenthalBertrand Desprez (photographies)/ Only lightJoachim Séné/ Chute universelleHugues Leroy/ Critique du savon dialectiqueFrédéric Fiolof/ Poèmes dans l’airZoé Balthus/ Des sourires pleuvent sur moi