J'ai voulu dépeindre les bobos américains, la nouvelle et l'ancienne génération de Démocrates, de leur lavage de cerveau, de leur mode de vie, de leur pouvoir, défauts et qualités, de leur influence. 1968, des deux côtés de l'atlantique, est toujours la mesure étalon pour se juger. Étonnement, il n'y a pas de décalage horaire entre les bobos français et les U.S. bobos qui s'inspirent de l'exemple socialiste français. Mais lorsqu'ils visitent la France, c'est pour rester cantonnés à Paris dans le 6eme ou le 7eme, et rencontrer les mêmes bobos (BHL, correspondants du New-York Times, les journalistes de l'Obs...) Ce sont des copiés-collés qui vivent dans un monde factice et étouffant. En novembre prochain auront lieu les élections de mi-mandat. Il est remarquable de constater l'engouement des français pour les élections américaines, comme s'ils votaient là-bas. À cette occasion, je voudrais décrire et comparer les » bleedings-hearts » (les pleureurs) Démocrates avec nos bobos socialisants, « les limousine-liberals » avec la gauche caviar française, les jeunes bobos des deux côtes de l'Atlantiques et l'ancienne génération, tous pétris de dialectique socialiste, racistes, malhonnêtes, honnêtes, naïfs, révolutionnaires, acteurs de progrès ou richissimes manipulateurs.
