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La guerre de 1914-1918 sur le front russe

ANDOLENKO Serge
Publication date 27/04/2017
EAN: 9782940523542
Availability Missing temporarily
« Si la France n’a pas été effacée de la carte de l’Europe, c’est avant tout à la Russie que nous le devons », déclare le Maréchal Foch à la fin de la Première Guerre mondiale.?uillet 1914 : Nicolas II décrète une mobilisation générale et engage sept... See full description
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Common books attribute
PublisherDES SYRTES
Page Count216
LanguageNo language content
AuthorANDOLENKO Serge
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date27/04/2017
Weight334 g
Dimensions (thickness x width x height)1.90 x 15.00 x 23.50 cm
« Si la France n’a pas été effacée de la carte de l’Europe, c’est avant tout à la Russie que nous le devons », déclare le Maréchal Foch à la fin de la Première Guerre mondiale.?uillet 1914 : Nicolas II décrète une mobilisation générale et engage sept millions d’hommes aux côtés de la France, son armée est une des meil- leures et attaque le front est, affolant l’état-major allemand qui déplace des troupes du front ouest en renfort (voici une des explications du miracle de la Marne et de ses taxis).En 1915, l’industrie russe, à la traîne derrière l’industrie allemande, compense par de très lourdes pertes humaines son infériorité en équipements : les soldats récupèrent les armes de leurs camarades morts, les combats se poursuivent à la baïonnette, au couteau, et même à mains nues. Cette hécatombe permet malgré tout d’affaiblir les Allemands, qui proposent une paix séparée à Nicolas II : elle est rejetée et la boucherie se poursuit.En 1916, c’est Verdun et l’offensive de la Somme, le front oriental est relativement épargné, les Russes en profitent pour s’approvisionner et s’équi- per, puis lancent deux offensives décisives en Bessarabie et dans le Caucase. L’espoir revient pour les Alliés.Mais arrivent 1917 et l’abdication de Nicolas II. Les soldats qui avaient combattu pour la Patrie, Dieu et le Tsar sont perdus, le gouvernement pro- visoire proclame sa volonté de poursuivre la guerre, tout en donnant des ordres incohérents : l’armée est détruite de l’intérieur. Pour l’auteur, « la révolution n’est pas une conséquence d’une prétendue défaite militaire ; la révolution serait plutôt la cause première de la destruction de l’armée ».Alors que les commémorations du 11 novembre 2016 ont rendu un hommage historique aux soldats russes, morts aux côtés des soldats français, l’ouvrage de Serge Andolenko tente de soigner une amnésie générale en démontrant le rôle oublié de la Russie impériale pendant la Première Guerre mondiale.