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La Sagesse du Danseur

DUPUY Dominique
Publication date 12/10/2011
EAN: 9782915543391
Availability Missing temporarily
Dominique Dupuy est engagé dans la compagnie de Jean Weidt en 1946. Jeune danseur, Dominique Dupuy se forme également auprès de la danseuse et pédagogue russe Olga Preobrajenska puis de Merce Cunningham avant de travailler ensuite auprès de Jerome An... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherEDITIONS DU 81
Page Count104
Languagefr
AuthorDUPUY Dominique
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date12/10/2011
Weight104 g
Dimensions (thickness x width x height)1.00 x 10.50 x 20.00 cm
Dominique Dupuy est engagé dans la compagnie de Jean Weidt en 1946. Jeune danseur, Dominique Dupuy se forme également auprès de la danseuse et pédagogue russe Olga Preobrajenska puis de Merce Cunningham avant de travailler ensuite auprès de Jerome Andrews. En 1955, Dominique Dupuy et son épouse fondent ensemble la compagnie Les Ballets modernes de Paris. Dominique Dupuy enseigne également à l'Institut de formation à l'enseignement de la danse et de la musique (actuellement le Centre national de la danse) et devient le directeur (de 1991 à 1995) du département de la danse de l'Institut de pédagogie musicale et chorégraphique. En 1996, il crée le Mas de la danse à Fontvieille dans les Bouches-du-Rhône, une institution devenue lieu de résidence pour chorégraphes qui permet aussi des rencontres et des colloques ouverts à un plus large public. « Il y a aussi la propension aux larmes, aux pleurs, qui ont rythmé mon enfance et ponctué ma vie. La danse a-t-elle pris la place de cette lacune de paroles et de ce trop-plein de larmes ? Devient-on danseur parce qu'on mésestime nos pleurs et brime nos larmes ? Pleurer est un bonheur, oui un bonheur, que je tiens de ma mère, grande pleureuse à ses heures, que je ne remercierai jamais assez de m'avoir passé sa passion. Est-il vraiment incongru de pleurer, d'aimer pleurer, d'aimer les larmes à en pleurer ? Sont-ce ces pleurs que je danse depuis soixante-dix ans, que j'ai transposés et transpose encore dans les gestes que je fais ? Vient le silence, puis viennent les larmes, puis, la danse ? Est-ce que je danse les pleurs que je ne peux pleurer ? Vit-on jamais un danseur pleurer en scène ? C'est dans sa danse que ses pleurs se nichent. »