Préface de Yves-Fred Boisset.Saint-Yves d’Alveydre explique comment il a reçu l’enseignement secret d’un prince prince afghan nommé Hardjij Scharipf, spécialement venu à Paris l’instruire de certains mystères, plus particulièrement ceux de l’Agarttha comme ceux de la langue primitive et sacrée : le « vattan »… La constitution de l’Agarttha est révélée pour la première fois aux lecteurs d’Occident et la question, non pas « des » mais « du » Mahatma est rétablie à sa véritable place.Partagés entre le mystère traditionnel et sulfureux de ce pays à la culture ancestrale et les nécessités politiques d’un vaste territoire difficilement gouvernable tant est grande la diversité de sa population, les Occidentaux, d’une manière générale, sont à la fois fascinés et terrifiés et un fossé d’incompréhension se creuse entre les deux entités géographiques. Saint-Yves d’Alveydre, se situant en-dehors et au-dessus de ces considérations prosaïques, va tenter de montrer comment ces deux entités peuvent collaborer en s’appuyant sur leurs traditions. C’est l’objet du présent ouvrage.