Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Journal

DUBOIS Théodore, DRATWICKI Alexandre, SEGOND-GENOVESI Charlotte
Publication date 23/05/2012
EAN: 9782914373791
Availability Missing temporarily
Le jour de ses 75 ans, en 1912, Théodore Dubois (1837-1924) commence la rédaction d’un journal intime qu’il tiendra presque jusqu’à la fin de sa vie. Les premières pages retracent le récit du quotidien tranquille d’un musicien adoubé par les milieux ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherSYMETRIE
Page Count368
Languagefr
AuthorDUBOIS Théodore, DRATWICKI Alexandre, SEGOND-GENOVESI Charlotte
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date23/05/2012
Weight713 g
Dimensions (thickness x width x height)2.40 x 17.00 x 24.00 cm
Le jour de ses 75 ans, en 1912, Théodore Dubois (1837-1924) commence la rédaction d’un journal intime qu’il tiendra presque jusqu’à la fin de sa vie. Les premières pages retracent le récit du quotidien tranquille d’un musicien adoubé par les milieux officiels mais dont la notoriété artistique est en perte de vitesse ; un compositeur « romantique » bientôt submergé par les sacs et ressacs des modernités éprouvantes de Ravel, Stravinski ou Milhaud. Avec le déclenchement de la Première Guerre mondiale, ce journal prend une tout autre tournure. Rythmé par des nouvelles du front (déformées selon le prisme d’une presse de propagande) ainsi que par des préoccupations personnelles et matérielles, le texte de Dubois livre désormais le regard attentif et inquiet de son auteur sur un conflit aux proportions et aux enjeux inédits. Au fil des pages, le compositeur témoigne aussi de pratiques, d’institutions et de sociabilités musicales qui naissent et s’organisent avec la Grande Guerre. Héros d’un passé révolu, le compositeur du Paradis perdu analyse les événements d’après-guerre (jusqu’en 1923) avec ce même point de vue : lucide, désabusé et souvent passéiste.