Treatment in progress...
Close notification

We are back !

Welcome on your new side.fr !

Display notification

Hièroglossie II. Les textes fondateurs. Japon, Chine, Europe

Robert Jean-Noël, Macé François
Publication date 15/03/2021
EAN: 9782913217423
Availability Missing temporarily
Le colloque « Hiéroglossie II : Les textes fondateurs » qui s’est tenu au Collège de France les 8 et 9 juin 2016 se proposait de poursuivre l’examen du phénomène de hiérarchisation des langues conçue comme l’un des facteurs dynamiques de leur histoir... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherIHE JAPONAISES
Page Count280
Languagefr
AuthorRobert Jean-Noël, Macé François
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date15/03/2021
Weight500 g
Dimensions (thickness x width x height)-
Collège de France 8-9 juin 2016
Le colloque « Hiéroglossie II : Les textes fondateurs » qui s’est tenu au Collège de France les 8 et 9 juin 2016 se proposait de poursuivre l’examen du phénomène de hiérarchisation des langues conçue comme l’un des facteurs dynamiques de leur histoire, puisque toute hiérarchisation a pour destin d’être remise en question. L’établissement d’un texte sacré est sans doute un élément primordial dans la constitution d’un réseau hiéroglossique, mais il existe des textes qui, sans s’être vu conférer la dignité de sacrés, peuvent cependant être considérés comme le point de départ d’une tradition langagière répétant, dans un autre ordre, un processus analogue à ce qui s’est passé dans le domaine religieux avant de s’étendre à l’ensemble d’une culture. Ici encore, la plus grande liberté a été laissée aux participants pour proposer leur propre vision d’un texte fondateur. Si certains choix s’admettent naturellement, d’autres sont plus inattendus, mais toutes les contributions montrent l’importance décisive d’un texte référentiel comme médiation d’un destin langagier. Le Kojiki est le garant a posteriori de l’indépendance de la langue japonaise, le Beowulf anglo-saxon est remis à l’honneur grâce au succès du Seigneur des anneaux, qui s’est lui-même inspiré du Kalevala finnois, jusque dans l’élaboration de langues imaginaires. Chacune des treize contributions propose ainsi une manière d’aborder les grands et moins grands textes dans une perspective dynamique d'ouverture sur l’histoire des langues.