Treatment in progress...
Close notification

A complete power breakdown on our premises...

is forcing us to close our warehouse and office all day this Monday November 24th. 
Our customer service can still read your emails.

Display notification

LA GENDARMERIE SOUS LE CONSULAT ET LE PREMIER EMPIRE

BOULANT/LEPETIT
Publication date 08/12/2009
EAN: 9782912838384
Availability Missing temporarily
Antoine BOULANT & Gildas LEPETIT160 pages, format 25cm x 32cm, 100 photos en couleurDans son Histoire du Cabinet de Napoléon Bonaparte, publiée à Londres en 1814, Lewis Goldsmith écrivait : « La gendarmerie est la terreur de la France. Dans toutes le... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherSPE BARTHELEMY
Page Count-
Languagefr
AuthorBOULANT/LEPETIT
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date08/12/2009
Weight1000 g
Dimensions (thickness x width x height)1.60 x 25.00 x 32.70 cm
Antoine BOULANT & Gildas LEPETIT160 pages, format 25cm x 32cm, 100 photos en couleurDans son Histoire du Cabinet de Napoléon Bonaparte, publiée à Londres en 1814, Lewis Goldsmith écrivait : « La gendarmerie est la terreur de la France. Dans toutes les villes, dans les villages qui ont cinquante maisons, il y a des gendarmes. On est sûr de trouver un gendarme dans toutes les auberges. Il n’y a rien qu’un Français redoute comme la vue d’un gendarme ».Bien qu’émanant d’un farouche opposant au régime impérial, le propos est révélateur de l’omniprésence de la gendarmerie dans les villes et les campagnes au début du XIXe siècle. Chargé depuis la fin du Moyen Age du maintien de l’ordre et de l’exécution des lois, ce corps était devenu, sous la Révolution, le véritable bras armé de l’Etat républicain. Au moment de prendre le pouvoir, Bonaparte hérita d’une force publique dont le statut militaire, l’organisation hiérarchique et l’implantation territoriale faisaient un élément essentiel du rétablissement de la sécurité intérieure, si nécessaire à la consolidation du nouveau régime.Conscient de la valeur et de l’utilité de cette institution, le Premier consul, devenu l’empereur Napoléon, lui décerna bientôt tous les honneurs : en la plaçant pour la première fois de son histoire sous l’autorité d’un véritable chef, en augmentant ses effectifs, en l’associant à la gloire de ses armées et en lui confiant des missions aussi essentielles que la lutte contre les brigands, les insoumis et les adversaires politiques du régime.Il allait faire de la gendarmerie la véritable troupe d’élite de l’armée impériale.