Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

LA TYRANNIE DE LA VALEUR

OUELLET Maxime, MARTIN Eric
Publication date 31/08/2014
EAN: 9782897191535
Availability Available from publisher
La crise économique de 2008 a suscité un «?renouveau?» du discours critique sur le capitalisme. Mais pour les auteur-e-s de La tyrannie de la valeur, cela n’a pas pour autant donné lieu à un approfondissement de la théorie critique, si bien que la cr... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherECOSOCIETE
Page Count280
Languagefr
AuthorOUELLET Maxime, MARTIN Eric
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date31/08/2014
Weight418 g
Dimensions (thickness x width x height)1.70 x 15.20 x 22.90 cm
La crise économique de 2008 a suscité un «?renouveau?» du discours critique sur le capitalisme. Mais pour les auteur-e-s de La tyrannie de la valeur, cela n’a pas pour autant donné lieu à un approfondissement de la théorie critique, si bien que la crise actuelle du capitalisme s’accompagne d’une crise de l’anticapitalisme, prenant la forme d’une carence théorique.L’essentiel de ce discours critique, comme celui des mouvements de type Occupy, demeure superficiel en se limitant à une approche subjectiviste dénonçant l’élite du « 1% » et des « vilains » banquiers. Le grand mérite du courant dit de la « critique de la valeur » (Wertkritik) est d’effectuer un retour au texte de Marx afin d’en dégager une critique substantielle et de retrouver, par-delà le Marx économiciste et subjectiviste, le Marx philosophe et sociologue. Le capitalisme est ainsi abordé comme un « fait social total », et de sa critique ressort la nécessité d’instituer d’autres formes de médiations sociales et d’autres institutions que celles qui consolident la domination fétichiste du travail, de la marchandise, de la valeur sur la vie, la société, la nature.La tâche prioritaire de la théorie critique est donc double : d’abord comprendre de manière critique les médiations fétichisées du capitalisme, puis penser ce que pourraient être des médiations non aliénées. C’est à ce projet que La tyrannie de la valeur entend contribuer afin d’approfondir et de renouveler le discours de la théorie critique. Avec des textes d’Yves-Marie Abraham, Marie-Pierre Boucher, Pierre Dardot, Jean-François Filion, Franck Fischbach, Anselm Jappe, Gilles Labelle, Eric Martin, Louis Marion, Jacques Mascotto et Maxime Ouellet.