mettre en avant :* La beauté de cette langue puissamment évocatrice, la richesse de la syntaxe, la poésie des images qui nous font oublier que nous ne comprenons pas tout (il ne faut pas s'accrocher à la syntaxe mais accepter de se laisser porter). * deux textes brefs qui déployent tout un monde enfoui, celui de l'histoire transgénérationnelle d'une famille d'Auvergne, qui pourrait être celle de n'importe quelle famille. Universalité (l'album photo, l'école…)* un jeu de bascul permanent et subtil entre Caluchon (l'enfant du côté des sortilèges, de l'imaginaire) et le je de l'adulte qu'il est devenu, celui qui remonte le temps vers Caluchon, sa mère adulte, sa mère enfant, jusqu'à la grand-mère (la femme au portrait)