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La Terre et moi - Testament intellectuel et spirituel d'une icône de l'écologie

Firstenberg Arthur
Publication date 12/11/2025
EAN: 9782874342622
Availability Not yet published: 12/11/2025
Et si la véritable crise écologique n’était pas seulement celle des forêts, des océans ou du climat… mais celle du lien brisé entre l’être humain et la Terre ? Arthur Firstenberg signe là un ouvrage magistral ayant la force d’un testament, à la crois... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherM PIETTEUR
Page Count512
Languagefr
AuthorFirstenberg Arthur
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date12/11/2025
Weight-
Dimensions (thickness x width x height)0.00 x 15.20 x 23.40 cm
Et si la véritable crise écologique n’était pas seulement celle des forêts, des océans ou du climat… mais celle du lien brisé entre l’être humain et la Terre ? Arthur Firstenberg signe là un ouvrage magistral ayant la force d’un testament, à la croisée de la science, de la philosophie, de l’histoire et de l’expérience personnelle. Trente ans après avoir entamé cette oeuvre monumentale, il y revient avec une urgence nouvelle, porté par le constat d’un monde en chute libre : disparition des pollinisateurs, effondrement des écosystèmes, artificialisation de la vie à travers la technologie… Loin des discours techniques ou des réponses fragmentaires, ce livre propose une lecture radicale et holistique de la crise écologique. L’auteur y démonte nos mythes de progrès, interroge la domination de la technique, et invite à une profonde refondation de notre rapport au vivant. Ce n’est ni un manuel, ni un manifeste, mais un cri, lucide et puissant, lancé à une humanité qui court à sa perte, en oubliant qu’elle fait partie d’un tout. Un texte rare, visionnaire, parfois inconfortable, toujours nécessaire. « Même lorsque le dernier insecte aura été détruit, le dernier animal chassé, la dernière forêt rasée, et que l’homme vivra éternellement dans une maison climatisée, il ne sera pas satisfait – car ce n’est pas le monde qu’il faut réparer, c’est l’homme lui-même. »