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BELLE MEUNIÈRE - LA MÈRE QUINTON - LES AMOURS CLANDESTINS

BOUCHEIX BERNARD
Publication date 22/12/2014
EAN: 9782848195292
Availability Missing temporarily
La mère Quinton, surnommée dans sa jeunesse « la Belle Meunière », est l’une des plus célèbres auvergnates, « la Zenta Mounira », qui, de son vivant, eut une reconnaissance internationale illustrée par une pièce de théâtre, par la présence d’un pavil... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCREER
Page Count136
Languagefr
AuthorBOUCHEIX BERNARD
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date22/12/2014
Weight385 g
Dimensions (thickness x width x height)0.70 x 16.00 x 24.00 cm
La mère Quinton, surnommée dans sa jeunesse « la Belle Meunière », est l’une des plus célèbres auvergnates, « la Zenta Mounira », qui, de son vivant, eut une reconnaissance internationale illustrée par une pièce de théâtre, par la présence d’un pavillon à l’exposition universelle de Paris en 1900…, sans oublier le livre best-seller qu’elle écrivit pour retracer un amour clandestin. En effet, la vie de la Marie Quinton (1854-1933) fut bouleversée dans la nuit du lundi 24 octobre 1887 lorsqu’elle accueillit secrètement, dans sa modeste auberge, deux amants illustres. Elle devint la confidente d’un amour fusionnel entre le célébrissime Général Georges Boulanger (1837-1891) et sa maîtresse, la Vicomtesse Marguerite de Bonnemains (1853-1891). La popularité de cet ancien Ministre de la Guerre était telle que sa destinée ressembla à celle du Général Bonaparte. Toutefois, l’histoire en fut tout autre. Tragédie lyrique, romance légendaire, gravée pour l’histoire de France où, à défaut d’être empereur, la passion l’emporta.« Il se jette dans ses bras, il la serre à la broyer, la couvre de baisers avec une impétuosité sans nom. Elle veut parler, il lui ferme la bouche de ses baisers, l’embrasse avec furie, sur les cheveux, le front, le cou, les épaules, partout où sa bouche rencontre la chair de sa bien-aimée. C’est une scène indescriptible de félicité, de délire, de bonheur surhumain. La violence de cet amour surpasse tout ce que je pouvais imaginer et l’homme qui aime ainsi, c’est « lui », l’idole des foules, c’est le général Boulanger ». Le 30 septembre 1891, le général Boulanger se suicide sur la tombe de sa maîtresse : « Ai-je bien pu vivre deux mois et demi sans toi ? ». Bernard BoucheixCette histoire vraie est digne d’une tragédie grecque. Royat, station du cœur, des cœurs fragiles aux cœurs amoureux. Incroyable amour qui faillit faire valser la démocratie. Encore une fois, « l’Histoire de France s’est faite sur l’oreiller ».