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Le Swami et la Carmélite 2 - La beauté du Gange

THÉRÈSE DE JÉSUS, LE SAUX Henri
Publication date 14/09/2023
EAN: 9782845903555
Availability Available from publisher
Au travers des quelque 700 pages, admirablement écrites et pensées, de la correspondance entre Henri Le Saux (1910-1973) et Thérèse de Jésus (1925-1976) se révèle le dialogue spirituel exceptionnel qui a eu lieu entre cette carmélite assoiffée d'abso... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherARFUYEN
Page Count264
Languagefr
AuthorTHÉRÈSE DE JÉSUS, LE SAUX Henri
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date14/09/2023
Weight404 g
Dimensions (thickness x width x height)2.00 x 16.00 x 22.40 cm
Correspondance 1968-1973
Au travers des quelque 700 pages, admirablement écrites et pensées, de la correspondance entre Henri Le Saux (1910-1973) et Thérèse de Jésus (1925-1976) se révèle le dialogue spirituel exceptionnel qui a eu lieu entre cette carmélite assoiffée d'absolu et pleine de courage et le charismatique moine bénédictin devenu en Inde Swami Abhishiktananda. Publié en septembre 2022, le premier volume de cette correspondance, intitulé « L'appel de l'Inde », nous a montré le long cheminement de Thérèse, guidée par Henri Le Saux, avant qu'elle ne puisse son rêve de vivre en Inde une vie purement contemplative. Intitulé « La beauté du Gange », ce second volume nous fait assister à son parfait accomplissement. En juin 1975, Thérèse réalise le rêve qui l'habite depuis tant d'années : « une petite maison très primitive de deux pièces, avec toit de tôle ondulée sans électricité, au milieu des manguiers et autres arbres [...] En faisant de la gymnastique dans les rochers, je peux aller prendre mon bain dans le Gange qui coule en contre-bas. Je n'ai jamais rencontré nulle part une telle qualité de silence. »Son maître Henri Le Saux est mort depuis deux ans déjà. Sa solitude est totale. Elle est initiée au mantra le plus ancien de l'Inde alors que « même les femmes de caste brahmanique n'ont pas le droit d'y être initiées. »Un an après cependant, sa maisonnette est retrouvée déserte. Six mois plus tard, en avril 1977, l'autre disciple d'Henri Le Saux, Marc Chaduc, disparaîtra lui aussi de son ermitage de Kaudiyala, à 30 km de là. Jamais leurs corps ne seront retrouvés.