Treatment in progress...
Close notification

We are back !

Welcome on your new side.fr !

Display notification

L'Île du Vésuve

Marghieri Clotilde
Publication date 13/10/2022
EAN: 9782845903357
Availability Available from publisher
« Depuis quelques années je me suis retirée à la campagne. La petite maison où je vis, entre vignes et pinèdes, s'adosse au Vésuve et a devant elle le superbe décor du golfe. » C'est ainsi que commence L'Île du Vésuve. Le ton est donné. Suivent 28 co... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherARFUYEN
Page Count-
Languagefr
AuthorMarghieri Clotilde
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date13/10/2022
Weight232 g
Dimensions (thickness x width x height)1.50 x 13.50 x 20.00 cm
« Depuis quelques années je me suis retirée à la campagne. La petite maison où je vis, entre vignes et pinèdes, s'adosse au Vésuve et a devant elle le superbe décor du golfe. » C'est ainsi que commence L'Île du Vésuve. Le ton est donné. Suivent 28 courts chapitres où Clotilde Marghieri nous raconte tout simplement, mais avec une grâce et un humour délicieux sa vie dans sa villa du Vésuve. Leurs titres ? « La Villa des Genêts » (celle, toute voisine, qu'occupa Leopardi), « La marquise », « La pinède vendue », «Télévision à la villa» ou «Messieurs (ou les angoisses nocturnes) ». Marghieri, c'est avant tout cela : une liberté d'allure, une élégance d'esprit, un charme irrésistible qui donnent au lecteur l'impression de partager l'existence d'une amie. Elle aimait le ton de Colette et de Madame de Sévigné. Mais c'est tout autant Proust ou Sagan qu'on retrouve dans ces pages à bien des moments. Une même manière de capter tout à la fois la légèreté de la vie et sa tragédie. « Les lettres que mon grand-père m'écrivait en pension, se souvient-elle, m'exaltaient à tel point que, ne sachant pas comment en profiter pleinement, comment les faire miennes, j'en découpais les passages les plus beaux et les plus touchants en lanières minuscules et après les avoir lus et relus (je les sais encore par coeur), je les mangeais. » L'écriture est ici chose vitale, mais jamais pesante ni sombre. Vivre au flanc du Vésuve, c'est cela : célébrer sans cesse la lumière sans oublier, toute proche, la menace.