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Fêter la nation. Mexique et Bolivie pendant leur premier siècle de vie indépendante (1810-1925)

Martinez Françoise
Publication date 14/03/2017
EAN: 9782840162254
Availability Available from publisher
Les festivités ont toujours été politiques : voyons comment, en Bolivie et au Mexique, les évènements patriotiques ont permis de créer une identité nationale et de consolider les républiques dans leurs indépendances. Les fêtes nationales et les hymne... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherPARIS OUEST
Page Count284
Languagefr
AuthorMartinez Françoise
FormatBook
Product typeBook
Publication date14/03/2017
Weight452 g
Dimensions (thickness x width x height)1.80 x 15.50 x 24.00 cm
Les festivités ont toujours été politiques : voyons comment, en Bolivie et au Mexique, les évènements patriotiques ont permis de créer une identité nationale et de consolider les républiques dans leurs indépendances. Les fêtes nationales et les hymnes patriotiques rencontrent en Amérique latine une ferveur remarquable. Pourtant, rien de spontané dans cet enthousiasme. Les dates choisies, les chants retenus et les commémorations mises en place sont les fruits de décisions politiques au service de projets médités de construction citoyenne. En fêtant la nation, le groupe se reconnaît un passé commun qu’il se remémore en même temps qu’il n’a de cesse de le réinterpréter. C’est une histoire comparée de ces réinterprétations, des façons de célébrer l’État-nation au Mexique et en Bolivie, pendant leur premier siècle de vie indépendante, qui est proposée ici. Les deux républiques naissantes partageaient une même volonté de construction nationale et une même préoccupation face à la forte composante « indigène » de leur population. Mais elles envisagèrent des modalités distinctes pour tisser ou raffermir les liens nationaux, pour intégrer ou exclure, pour mettre en scène ou invisibiliser les populations des territoires concernés.Au-delà des typologies esquissées, les politiques festives et symboliques cherchèrent à doter d’évidence un sentiment d’appartenance nationale encore embryonnaire, mais dont la généralisation devenait une nécessité politique.