Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

La mort

Jüngel Eberhard
Publication date 20/01/2021
EAN: 9782830917352
Availability Available from publisher
Eberhard Jüngel, éminent théologien de notre temps (né en 1934), se penche sur le thème de la mort. Cette thématique est d’abord envisagée dans une perspective anthropologique large, en dialogue avec la médecine et la philosophie, comme une « énigme... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherLABOR ET FIDES
Page Count256
Languagefr
AuthorJüngel Eberhard
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date20/01/2021
Weight309 g
Dimensions (thickness x width x height)1.90 x 12.80 x 20.40 cm
Eberhard Jüngel, éminent théologien de notre temps (né en 1934), se penche sur le thème de la mort. Cette thématique est d’abord envisagée dans une perspective anthropologique large, en dialogue avec la médecine et la philosophie, comme une « énigme ». Dans un second temps, Jüngel propose une réflexion biblique et théologique sur la mort comme « mystère ». Interroger la mort, c’est interroger la vie – notre vie. Qu’est-ce que la mort ? Une réalité à la fois tout à fait personnelle (notre mort), mais aussi tout à fait étrangère. Elle n’est toutefois pas que « ma » mort, mais aussi celle d’autrui : elle est un fait social, dont les incidences sur nous-mêmes sont indéniables. Théologiquement parlant, la mort de Jésus est l’événement de la rencontre entre l’être de Dieu et l’être de la mort : Dieu y assume la négation de la mort. Si la mort de Jésus-Christ a quelque chose à voir avec nous, c’est parce qu’elle concerne également Dieu : en Jésus, Dieu même n’en est pas indemne. Loin d’être « réconcilié » par la crucifixion de Jésus, au sens où Dieu passerait de la colère au pardon, Dieu ôte à la mort sa puissance de négation et de séparation, donnant à l’être humain d’avoir part à sa vie même. D’abord paru en 1971, dans le contexte des théologies de la « mort de Dieu », cet ouvrage, très lu dès sa parution mais jamais traduit jusqu’ici en français, n’a rien perdu de sa pertinence