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Bois et architecture dans la Protohistoire et l’Antiquité (2)

Rougier-Blanc Sylvie, Lamouille Stéphane, Pagnoux Clémence, Py Saragaglia Vanessa
Publication date 17/07/2024
EAN: 9782810712939
Availability Available from publisher
Les Anciens sont-ils responsables d’une surexploitation du couvert forestier en Crète, au Maroc ou dans le sud de la France ? De nouvelles méthodes en sciences de l’environnement permettent aux historiens et aux archéologues de proposer une lecture r... See full description
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Common books attribute
PublisherPU MIDI
Page Count236
Languagefr
AuthorRougier-Blanc Sylvie, Lamouille Stéphane, Pagnoux Clémence, Py Saragaglia Vanessa
FormatBook
Product typeBook
Publication date17/07/2024
Weight388 g
Dimensions (thickness x width x height)1.50 x 16.20 x 24.10 cm
Approvisionnement en bois, activités agro-pastorales et couvert forestier (Pallas n° 125)
Les Anciens sont-ils responsables d’une surexploitation du couvert forestier en Crète, au Maroc ou dans le sud de la France ? De nouvelles méthodes en sciences de l’environnement permettent aux historiens et aux archéologues de proposer une lecture renouvelée de la question.L’activité des sociétés anciennes est étroitement dépendante de l’accès au bois, sous la forme de matériau ou de combustible. Au sein des sociétés qu’ils étudient, l’historien comme l’archéologue se trouvent souvent démunis pour reconstituer la diversité des paysages forestiers du passé et leurs dynamiques historiques, les pratiques sylvicoles, les stratégies d’approvisionnement et la circulation de la ressource en bois. L’objectif de ce dossier est de proposer une réflexion méthodologique, visant à une approche critique des données paléobotaniques (palynologie et anthracologie notamment) et des sources historiques (sources écrites, archéologiques et iconographiques). Autrement dit, il s’agit de s’interroger sur la nature des sources à notre disposition pour étudier le couvert forestier et son exploitation d’une part, et sur la manière d’interpréter ces sources d’autre part. Il s’agit également de mettre en évidence les limites et les biais de chaque méthode ainsi que l’apport de la confrontation des sources. La réflexion engagée ici s’inscrit dans la perspective plus large de l’interaction entre les sociétés et leur environnement.