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Les 100 poèmes (qu'il faut absolument connaître)

Caracalla Laurence
Publication date 30/05/2019
EAN: 9782810508532
Availability No availability information
Pour ce nouvel opus de la collection des "100", l'auteur, Laurence Caracalla, avec la complicité d'Etienne de Montety, directeur du Figaro Littéraire, a sélectionné "Les 100 poèmes à avoir lus au moins une fois dans sa vie". Autant dire des monuments... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherSTE DU FIGARO
Page Count206
Languagefr
AuthorCaracalla Laurence
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date30/05/2019
Weight290 g
Dimensions (thickness x width x height)1.50 x 16.00 x 16.00 cm
Préface Etienne de Montety
Pour ce nouvel opus de la collection des "100", l'auteur, Laurence Caracalla, avec la complicité d'Etienne de Montety, directeur du Figaro Littéraire, a sélectionné "Les 100 poèmes à avoir lus au moins une fois dans sa vie". Autant dire des monuments de la littérature française. Il y a dans ce rassemblement de talents, les évidences, les incontournables comme Le chercheur dort de Jean Cocteau ou Liberté de Paul Eluard voire Les yeux d'Elsa de Louis Aragon. On croise bien sûr dans ce recueil les vers de George Sand, de Victor Hugo, de Jean de La Fontaine, ceux de Clément Marot, les mots de Rimbaud, de Baudelaire. Mais qui se souvient du magnifique texte de Louise Labé ? De Louise Colet ? D'Aloysius Bertrand ? Ils sont là, aussi. Laurence Caracalla et Etienne de Montety ont fouillé l'histoire pour sélectionner "leur" meilleur, du XXe au XIIIe siècle. Ces 100 poèmes traversent l'histoire de notre littérature, nous transportent, nous ramènent en enfance. Au-delà des poètes retenus, il y a à chaque fois le choix de l'oeuvre.Extrait : LOUIS ARAGON (1897-1982) : Les Yeux d'ElsaTes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire J'ai vu tous les soleils y venir se mirer S'y jeter à mourir tous les désespérés Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent L'été taille la nue au tablier des anges Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure...Préface Etienne de Montety