Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

J'aime le sport de petit niveau - Entretien

Cyrulnik Boris
Publication date 05/03/2020
EAN: 9782749165127
Availability Available from publisher
Le sport et la résilience. " La résilience par le sport, c'est la métamorphose du handicap auquel on ne se soumet pas, et qui nous conduit ainsi à la réparation narcissique. Au ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHERCHE MIDI
Page Count96
Languagefr
AuthorCyrulnik Boris
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date05/03/2020
Weight88 g
Dimensions (thickness x width x height)1.10 x 11.40 x 18.10 cm
Le sport et la résilience. " La résilience par le sport, c'est la métamorphose du handicap auquel on ne se soumet pas, et qui nous conduit ainsi à la réparation narcissique. Au concept de "morale sportive", je préfère celui d'empathie, dans lequel je me représente le monde de l'autre. Même sans loi, quelque chose m'empêche. Dans le sport, c'est le règlement qui freine, et non le sujet lui-même. L'empathie est plus morale que le sport. J'aime le sport de "petit niveau' parce qu'il socialise, il moralise, il produit une relation humaine, et fait naître une épopée. " Par le prisme du sport, qu'il a pratiqué jeune adulte, Boris Cyrulnik nous entretient de la " condition humaine ", avec la bienveillance qui le caractérise. Phénomène social majeur du xxe siècle, le sport constitue à ses yeux un magnifique terrain de reconstruction. Le concept de résilience, qu'il a fait connaître, trouve dans le sport une application exemplaire. Son approche anthropologique le conduit aussi à former l'hypothèse de la naissance des conventions de jeux dès l'avènement de la conscience de l'autre chez l'enfant, et du plaisir qui jaillira de se mesurer à lui. Ainsi, ce " protosport " de l' Homo ludens s'enracinerait dans l'être en devenir dès les premiers temps de l'humanité.