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17 juillet 1942, un train parmi tant d'autres

Pisar Samuel, Mémoires du convois n°6, Borycki Alexandre
Publication date 15/01/2009
EAN: 9782749113401
Availability Missing temporarily
En Mémoire du Convoi 6.Cela fait soixante-six ans, et pourtant aucun des témoins de ce livre n'a pu oublier ce 17 juillet 1942 où, à 6 h 15 du matin, à Pithiviers, 785 hommes, 119 femmes et 24 enfants sont montés dans des wagons à bestiaux à destinat... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHERCHE MIDI
Page Count333
Languagefr
AuthorPisar Samuel, Mémoires du convois n°6, Borycki Alexandre
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date15/01/2009
Weight511 g
Dimensions (thickness x width x height)2.90 x 15.60 x 24.10 cm
En Mémoire du Convoi 6.Cela fait soixante-six ans, et pourtant aucun des témoins de ce livre n'a pu oublier ce 17 juillet 1942 où, à 6 h 15 du matin, à Pithiviers, 785 hommes, 119 femmes et 24 enfants sont montés dans des wagons à bestiaux à destination d'Auschwitz ; voyage dont la plupart ne reviendront pas. Mais, pour ces témoins, les déportés ne sont pas de simples noms sur une liste. Ils sont avant tout des membres de leur famille qui avaient un visage, une vie et une histoire avant leur arrestation. Ils étaient venus en France, pays des droits de l'homme, afin de fuir les pogroms qui sévissaient en Pologne et en Russie. Ils étaient pleins d'espoir et de vie. Leur seul crime : être nés juifs ! Ils voulaient simplement s'intégrer et travailler paisiblement, d'où leur incompréhension, quand on vint les arrêter le 14 mai 1941 avec, comme motif, " surnombre dans l'économie nationale ", qu'on les interne dans des camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande, en France, sous la surveillance de gendarmes français, avant de les envoyer à la mort. Tous ces gens ont tant à nous raconter du drame des leurs... Ils ont tous vécu une jeunesse terrible, personne ne s'est soucié de leurs traumatismes d'enfants n'ayant jamais connu de fêtes mais devant se cacher sans pouvoir se faire entendre, perdre leur père ou leur mère, parfois les deux, souvent aussi les frères et sœurs. Et l'après-guerre, avec la recherche d'un membre de la famille vivant, les maisons d'enfants pour ceux qui n'ont retrouvé personne.... Et pour ceux qui étaient, soi-disant, les plus favorisés, retrouver des parents qui revenaient de cet enfer et n'étaient plus les mêmes... C'est également pour amener les jeunes générations à être " des passeurs de mémoire " afin que notre monde, dans l'avenir, ne soit pas une répétition de l'histoire et que le leitmotiv des rares déportés survivants, " Plus jamais ça ! ", n'ait pas été vain, que ces précieux témoignages ont été réunis ici.