Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Maximes et Réflexions sur la Comédie suivi du Traité de la concupiscence

Touboul Patricia, Bossuet Jean-Bénigne
Publication date 27/02/2020
EAN: 9782745352606
Availability Available from publisher
Les Maximes et Réflexions sur la Comédie, accompagnées des pièces de la querelle qui opposa Bossuet au théatin Caffaro, ainsi que le Traité de la concupiscence n’ont fait l’objet d’aucune réédition savante depuis 1930. Une nouvelle édition s’imposait... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHAMPION
Page Count706
Languagefr
AuthorTouboul Patricia, Bossuet Jean-Bénigne
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date27/02/2020
Weight860 g
Dimensions (thickness x width x height)3.40 x 15.00 x 22.00 cm
Les Maximes et Réflexions sur la Comédie, accompagnées des pièces de la querelle qui opposa Bossuet au théatin Caffaro, ainsi que le Traité de la concupiscence n’ont fait l’objet d’aucune réédition savante depuis 1930. Une nouvelle édition s’imposait donc afin d’accompagner le mouvement de redécouverte de l’œuvre de celui qui fut l’une des plus remarquables figures du XVIIe siècle, et dont témoigne depuis une vingtaine d’années la floraison de nombreux travaux universitaires.La présente édition, en rapprochant deux importants écrits que le prélat composa en 1694, dix ans avant sa mort, met en lumière le cadre spirituel, moral et philosophique qui définit le point d’aboutissement de sa pensée : redoutable et savant polémiste, Bossuet clôt tout d’abord, d’une façon décisive, la querelle du théâtre qui a traversé le Grand Siècle, fournissant à Rousseau, qui rouvrira les hostilités au siècle suivant, plusieurs arguments de poids. Occupé à dénoncer les désordres du monde, dont l’engouement généralisé pour le théâtre est l’un des symptômes les plus visibles, il n’en désigne pas moins la véritable coupable, celle que tous les hommes entretiennent sans exception : la concupiscence, qui détourne le chrétien de la recherche de son salut par le furieux appétit de complaisance qu’il trouve en lui-même. Si le Traité de la concupiscence, publié à titre posthume, demeure énigmatique quant à son destinataire éventuel, il dévoile de la façon la plus radicale ce dégoût du monde qui transparaît déjà dans les Maximes et Réflexions sur la Comédie, en fixant, à la façon d’un ultime testament, le fond de la spiritualité, austère et sans compromis, de l’Aigle de Meaux.