Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Journal de la cour de Vienne - 1686-1688

Bérenger Jean, Schwarzenberg Ferdinand
Publication date 27/09/2013
EAN: 9782745325501
Availability Available from publisher
Les témoignages sur la Cour de Vienne à l’époque de Louis XIV et de l’empereur Léopold 1er ne manquent pas, mais il s’agit plutôt de sources externes – généralement des relations diplomatiques – et rarement de textes en français. C’est pourquoi Jean ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHAMPION
Page Count264
Languagefr
AuthorBérenger Jean, Schwarzenberg Ferdinand
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date27/09/2013
Weight380 g
Dimensions (thickness x width x height)14.50 x 15.50 x 23.50 cm
Les témoignages sur la Cour de Vienne à l’époque de Louis XIV et de l’empereur Léopold 1er ne manquent pas, mais il s’agit plutôt de sources externes – généralement des relations diplomatiques – et rarement de textes en français. C’est pourquoi Jean Bérenger a décidé de publier un fragment du journal de la Cour du prince Ferdinand Schwarzenberg (1652-1703). Ce texte, qui couvre la période 1686-1688, a été rédigé par un des grands dignitaires auliques (le prince Ferdinand Schwarzenberg était à cette époque grand maréchal de la Cour de l’empereur) et en même temps membre du Conseil privé, l’instance suprême du gouvernement impérial. Ce journal nous offre le double avantage de nous initier aux arcanes de la vie politique au sommet de la Monarchie autrichienne et de le faire en français. Du point de vue chronologique, le journal du prince Schwarzenberg correspond à l’époque de la reconquête de la Plaine hongroise sur l’occupant ottoman et se situe entre la prise de Bude (1686) et celle de Belgrade (1688), alors qu’une paix précaire régnait en Allemagne et dans le reste de l’Europe. L’auteur appartient lui-même au cercle gouvernemental, même s’il n’est pas un décideur de premier rang. Mais, il jouit de la confiance de son souverain comme des principaux responsables de la vie politique qui lui font leurs confidences et lui racontent ce qui s’est passé dans les conseils. Pour plus d’authenticité, l’éditeur a respecté scrupuleusement le texte, dont les maladresses, les archaïsmes, voire les fautes réjouiront les lecteurs et intéresseront peut-être les philologues dans la mesure où il s’agit d’une langue vivante et proche de la conversation.