Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Correspondance d'Alphonse de Lamartine T3 : 1838-1841

Lamartine Alphonse de, Croisille Christian, Morin Marie-Renée
Publication date 01/01/2001
EAN: 9782745304896
Availability Available from publisher
Les années qui vont de 1838 à 1841 marquent chez Lamartine, sinon le tarissement de l'inspiration, du moins la cessation progressive de l'activité poétique: après la parution de La Chute d'un ange, en juin 1838, et celle des Recueillements, en mars 1... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHAMPION
Page Count784
Languagefr
AuthorLamartine Alphonse de, Croisille Christian, Morin Marie-Renée
FormatHardback
Product typeBook
Publication date01/01/2001
Weight900 g
Dimensions (thickness x width x height)4.10 x 15.00 x 22.00 cm
1838-1841
Les années qui vont de 1838 à 1841 marquent chez Lamartine, sinon le tarissement de l'inspiration, du moins la cessation progressive de l'activité poétique: après la parution de La Chute d'un ange, en juin 1838, et celle des Recueillements, en mars 1839, mal accueillis par la critique, il ne publiera plus aucun recueil de vers. En revanche, son activité politique l'absorbe de plus en plus, et, à la Chambre, sa réputation d'orateur continue de grandir: c'est en mai 1840 qu'il prononce son discours le plus célèbre, à l'occasion du retour des cendres de Napoléon.Au sommet de sa gloire littéraire et politique, Lamartine semble avoir tout pour être heureux. Ce n'est cependant pas le cas. Ce que le public ignore, mais que sa famille et ses amis proches savent bien, c'est la dégradation de sa situation financière. Le poids du remboursement des dettes les plus anciennes, aggravé par de nouveaux emprunts, se fait de plus en plus lourd au fil des années. Cette période est également celle des deuils majeurs qui viennent le frapper en moins d'un an, avec la disparition de son père en août 1840, celle d'Aymon de Virieu en avril 1841, et celle de Léon de Pierreclau, son fils naturel, en juillet 1841.