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Discours préliminaire des éditeurs de 1751 et articles de l'Encyclopédie

Groult Martine, Alembert Jean D'
Publication date 01/01/1999
EAN: 9782745302144
Availability Available from publisher
Les textes qui sont à l'origine de la querelle de l'Encyclopédie avec le Journal de Trévoux, tout comme le texte de la première édition du Discours préliminaire des éditeurs, n'avaient jamais fait l'objet d'une publication particulière. Il revenait à... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherCHAMPION
Page Count296
Languagefr
AuthorGroult Martine, Alembert Jean D'
FormatHardback
Product typeBook
Publication date01/01/1999
Weight400 g
Dimensions (thickness x width x height)1.60 x 14.00 x 22.00 cm
Introduits par la querelle avec le journal de Trévoux.
Les textes qui sont à l'origine de la querelle de l'Encyclopédie avec le Journal de Trévoux, tout comme le texte de la première édition du Discours préliminaire des éditeurs, n'avaient jamais fait l'objet d'une publication particulière. Il revenait à l'auteur de D'Alembert et la mécanique de la vérité dans l'Encyclopédie, de combler ce vide éditorial. Le XVIIIe siècle français connaît, de 1749 à 1751, trois années cruciales au cours desquelles Diderot et d'Alembert élaborent la philosophie de l'Encyclopédie. Le présent volume distingue trois phases déterminantes dans la révolution du savoir pensée par les deux éditeurs: la querelle entre le Journal de Trévoux et Diderot, la parution du Discours préliminaire des éditeurs et les articles épistémologiques de d'Alembert. Il ne fallait pas perdre de vue, à l'aube du XXIe siècle, alors que les scientifiques tant dans les sciences exactes que dans les sciences humaines, précisent les recherches sur l'esprit de l'homme, que la décision fondamentale de placer l'homme avant la nature a constitué un renversement du sens de l'humanisme en celui d'humanité. La nature appartient désormais à l'homme. Demandée par Montaigne et entendue par Kant, la mise en place de ce point de vue ne se réalisa pas sans violence. Le rapprochement et le déchirement entre la philosophie, la science et la religion témoignent d'une complicité ambiguë et fragile dont ces textes portent les marques.