Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

La conscience et le corps

Ruyer Raymond, Fruteau de Laclos Frédéric, Louis Fabrice, Louis Jean-Pierre
Publication date 15/10/2020
EAN: 9782711629435
Availability Available from publisher
La conscience et le corps, paru pour la première fois en 1937, représente un jalon essentiel dans l’évolution de la pensée de Raymond Ruyer (1902-1987). Dans sa thèse de 1930, Ruyer s’était fait le défenseur d’une « philosophie de la structure » : « ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherVRIN
Page Count188
Languagefr
AuthorRuyer Raymond, Fruteau de Laclos Frédéric, Louis Fabrice, Louis Jean-Pierre
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date15/10/2020
Weight172 g
Dimensions (thickness x width x height)1.00 x 11.00 x 18.00 cm
La conscience et le corps, paru pour la première fois en 1937, représente un jalon essentiel dans l’évolution de la pensée de Raymond Ruyer (1902-1987). Dans sa thèse de 1930, Ruyer s’était fait le défenseur d’une « philosophie de la structure » : « l’être est structure spatio-temporelle et rien d’autre ». Mais ses travaux des années 1930 l’amènent à identifier derrière certaines structures un « champ de conscience », ce qu’il appelle précisément en 1937 une « forme vraie » ou un « domaine absolu de survol ». La conscience et le corps ouvre ainsi la voie au panpsychisme que Ruyer développera systématiquement dans sa magistrale synthèse d’après-guerre, Néo-finalisme.Décisif au regard du parcours de Ruyer, l’ouvrage n’intéresse pas moins le devenir actuel de la métaphysique : la psychobiologie qui y est ébauchée permet de construire une alternative à la dénonciation wittgensteinienne du mythe de l’intériorité tout en dépassant les réductions opérées par le monisme matérialiste.