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Elisabeth de Bohême face à Descartes: Deux philosophes?

Kolesnik-Antoine Delphine, Pellegrin Marie-Frédérique, Belgioioso Giulia, Kambouchner Denis, Kolesnik-Antoine Delphine, Le Ru Véronique, Leduc Christian, Mehl Édouard, Pellegrin Marie-Frédérique, Agostini Igor, Ebbersmeyer Sabrina, Schlierkamp Kathrin, Shapiro Lisa
Publication date 22/04/2014
EAN: 9782711625024
Availability Available from publisher
Le titre même de ce volume, sous forme d’interrogation, est à comprendre comme un postulat. Il s’explique comme suit : il s’agit de s’interroger sur la pensée philosophique d’Élisabeth tout autant que sur celle de Descartes. La réflexion d’Élisabeth ... See full description
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Common books attribute
PublisherVRIN
Page Count216
Languagefr
AuthorKolesnik-Antoine Delphine, Pellegrin Marie-Frédérique, Belgioioso Giulia, Kambouchner Denis, Kolesnik-Antoine Delphine, Le Ru Véronique, Leduc Christian, Mehl Édouard, Pellegrin Marie-Frédérique, Agostini Igor, Ebbersmeyer Sabrina, Schlierkamp Kathrin, Shapiro Lisa
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date22/04/2014
Weight340 g
Dimensions (thickness x width x height)1.20 x 13.50 x 21.50 cm
Le titre même de ce volume, sous forme d’interrogation, est à comprendre comme un postulat. Il s’explique comme suit : il s’agit de s’interroger sur la pensée philosophique d’Élisabeth tout autant que sur celle de Descartes. La réflexion d’Élisabeth semble en effet posséder une dimension philosophique à deux titres au moins : d’abord parce que la princesse entretient un dialogue philosophique de haute tenue avec un autre philosophe, en déployant des arguments pertinents; ensuite parce qu’elle développe peut-être elle-même des thèses qui lui sont personnelles, qui seraient des thèses au sens fort et pleinement philosophique du terme, et dont l’étude pourrait être affinée par la prise en considération de ses très nombreux autres correspondants.Reste un scrupule : celui de trahir le souhait même d’Élisabeth de cantonner ses échanges intellectuels au plan privé, en la propulsant en pleine lumière et en lui faisant endosser une posture philosophique qu’elle a soigneusement évitée de son vivant. Qu’on songe qu’elle voulait que cet échange soit codé! Mais comme le premier « traître » fut Descartes lui-même, transmettant les lettres d’Élisabeth à Christine de Suède, considérons-nous comme habilités, en bons cartésiens, à divulguer la pensée de la princesse palatine. C’est à ce prix en effet, que nous pourrons redéfinir le rôle de cette dernière dans le cartésianisme, déterminer s’il existe une pensée propre d’Élisabeth et enfin, si elle existe, savoir en quoi elle consiste.