Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Les brouillons autographes du Dalalat al-Ha'irin (Guide des égarés)

Sirat Colette, Maimonide, Di Donato Silvia
Publication date 25/01/2012
EAN: 9782711623181
Availability Available from publisher
Dès sa jeunesse, le grand projet du Maître avait été d’extirper du peuple d’Israël la croyance à la corporalité divine. Ce but est proclamé dès le début de son premier grand livre, le Mishné Tora, destiné au grand public. Le livre fut sévèrement crit... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherVRIN
Page Count296
Languagefr
AuthorSirat Colette, Maimonide, Di Donato Silvia
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date25/01/2012
Weight500 g
Dimensions (thickness x width x height)1.80 x 16.00 x 24.00 cm
Dès sa jeunesse, le grand projet du Maître avait été d’extirper du peuple d’Israël la croyance à la corporalité divine. Ce but est proclamé dès le début de son premier grand livre, le Mishné Tora, destiné au grand public. Le livre fut sévèrement critiqué, en particulier, par les talmudistes babyloniens. De ces confrontations avec les fidèles des communautés juives orientales, sort un homme déçu, amer et blessé. Quand Maimonide rédige le Guide des égarés, les ignorants et les rabbins talmudistes sont ses ennemis et aussi les ennemis de Dieu.On a beaucoup parlé des secrets que Maimonide a volontairement dissimulés dans le Guide des égarés. Ici, nous touchons du doigt la manière dont il l’a fait. Les brouillons autographes s’étalent sur une longue période, nous y voyons Maïmonide introduire peu-à-peu les traits les plus extrêmes de sa philosophie mais aussi des concessions faites au vulgaire.Cette interprétation n’est pas nouvelle (on la trouve déjà au XIIIe siècle) mais elle n’a pas été acceptée par tous. Ici le témoignage est irréfutable : c’est l’auteur lui-même qui écrit. En regardant ces autographes, nous ressentons la douleur et le ressentiment de l’homme qui voulait montrer à ses coreligionnaires l’accord profond entre la philosophie et la religion juive.