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Lettres d'Amérique

James Henry, Brooke Rupert, PAVANS Jean
Publication date 05/05/2022
EAN: 9782492908156
Availability Available from publisher
« C’était ainsi que l’imagination le suivait en toute confiance : il faisait tout ce qui pouvait être fait à l’époque (telle était sa note la plus moderne), mais accomplissait les nuances les plus fines de ces actes bénis avec une ponctualité poé­ti... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherMANIFESTE
Page Count180
Languagefr
AuthorJames Henry, Brooke Rupert, PAVANS Jean
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date05/05/2022
Weight2 g
Dimensions (thickness x width x height)1.40 x 14.00 x 19.00 cm
« C’était ainsi que l’imagination le suivait en toute confiance : il faisait tout ce qui pouvait être fait à l’époque (telle était sa note la plus moderne), mais accomplissait les nuances les plus fines de ces actes bénis avec une ponctualité poé­tique qui n’avait d’égale que sa sincérité sociale. » (Préface de Henry James.) Le regard énamouré du vieil Henry James, dans cette préface, tout dernier texte de l’écrivain américain, s’attache à suivre la trajectoire du jeune et brillant poète anglais, doué de tous les dons, qu’il s’apprête à rejoindre dans la tombe. Du 22 mai 1913 au 6 juin 1914, Rupert Brooke voyage aux Amériques, d’où il fait suivre, pour la Westminster Gazette, une série d’articles-reportages, qui seront publiés à titre posthume, dès 1916, avec la préface de James. Brooke pose sur les lieux, les peuples et les coutumes qui s’offrent à lui un regard pénétrant, tendre, d’où transparaît la fascination exercée par le Nouveau Monde sur un jeune représentant de la Vieille Angleterre. Ses facultés poétiques trouvent pleinement à s’employer dans les nouveautés du voyage : gratte-ciel de New York, grandes plaines du Canada, chutes du Niagara... Cette imagination échevelée, cette expérience d’une terre neuve, vierge de mythes à peupler, n’empêchent pas le jeune socialiste idéaliste qu’il est, proche des idées des « Fabiens », de s’exercer à saisir les contradictions d’une jeune république pleine de vitalité, d’avenir, mais où déjà le dollar et la division des classes règnent en maîtres.