Il m’était impossible de le ralentir, ce temps ou plutôt notre temps.Il continuait d’avancer et Maria suivait son rythme A capriccio.De son fil, elle décrochait peu à peu les images du passé pour y étendre celles du présent.Une seule était restée pendue et depuis si longtemps. Elle flottait au vent, la rappelait continuellement et cela jusqu’à la fin de sa vie.J’imagine qu’elle l’avait aussi accompagnée sur le chemin d’ailleurs et d’après. J’en parlerai plus tard…