Tenir le carnet des jours, où que l’on soit, campagne ou banlieue, dans l’amitié ou dans l’incertitude de ceux qui vivent aux marges…« J’aimerais reprendre le train qui s’arrête en gare de Luge, nager au milieu des nénuphars, fouler les sentiers, apprendre le nom de nouveaux étangs, chanter dans la chapelle de Saint-Colomban. Recréer l’intensité de l’écriture près de la rivière dans le respect des heures solitaires, du rythme qui détache, des textes relus à la tombée du soir pour que les tra ces existent au-delà du jour. »Chaque volume de la collection Nos Deux Jardins est la rencontre imprévisible entre un écrivain et un peintre. Le peintre réalise la couverture et le triptyque central.