Voleurs de fleurs

Peut-on être optimiste quand on vit dans les tours ?Adolescent audacieux, Sarih vit avec sa mère et son petit frère handicapé dans une cité populaire. Leur vie n’est pas facile tous les jours. Mais depuis qu’il a lu Candide, Sarih ne rêve plus que d’améliorer le monde. Et s’il fallait des fleurs pour s’arracher de la misère et casser la solitude ?« Le quartier, ça reste le quartier. Les gens ont beau fournir tous les efforts qu’ils peuvent, se serrer la ceinture, se lever tôt, accepter tout type de travail, redoubler d’efforts, faire des sacrifices, il faut se débrouiller quand on n’a pas le sou. Et bien souvent, ce n’est même pas qu’une question de sou. C’est une question de seul. »