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J'irai gouter l'air qu'ont respire les bêtes sauvages

SIDAMON-PESSON CHISTOPHE
Publication date 12/10/2023
EAN: 9782372410892
Availability Available from publisher
Un regard extraordinaire sur le monde sauvage. Un ouvrage mémoriel sur les plus belles images du photographe Christophe Sidamon-Pesson disparu en 2014.Prologue de Simon Bugnon.Postface de Michel Blanchethristophe Sidamon-Pesson (1975-2014)Alors qu’il... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherHOZHONI
Page Count240
Languagefr
AuthorSIDAMON-PESSON CHISTOPHE
FormatBook
Product typeBook
Publication date12/10/2023
Weight1231 g
Dimensions (thickness x width x height)2.30 x 21.80 x 28.40 cm
Un regard extraordinaire sur le monde sauvage. Un ouvrage mémoriel sur les plus belles images du photographe Christophe Sidamon-Pesson disparu en 2014.Prologue de Simon Bugnon.Postface de Michel Blanchethristophe Sidamon-Pesson (1975-2014)Alors qu’il n’est encore qu’un enfant, à la faveur d’un été, le jeune Christophe découvre cette vallée du Queyras, si éblouissante à ses yeux, « un royaume préservé » qui va devenir, sinon le théâtre de l’essentiel de sa vie, cet espace de nature hors du commun dont la découverte va développer chez lui une inspiration artistique originale, nourrie d’émotions toujours plus profondes et de réflexions sur le monde. Les nombreuses images primées au fil du temps par les jurys internationaux témoignent de son talent. Au milieu de centaines de photographes naturalistes français et étrangers, l’auteur a patiemment ouvert un chemin qui le place en tête des plus remarqués de son époque par son approche artistique. Sa quête insatiable d’une nature originelle, qu’à l’instar de son ami Bernard Boisson il qualifiait d’espace primordial, l’amène aussi à voyager. En novembre 2014, de retour d’une de ces expéditions sous les aurores boréales, et poussé par un vent de tempête, de ceux « qui agitent les êtres et les esprits » avait-il déjà écrit, il est parti dans l’ultime voyage, laissant une œuvre artistique inachevée remarquable et précieuse dont cet ouvrage entend se faire l’écho. Par ces temps où l’image fabriquée se déverse dans le quotidien de nos vies, le besoin absolu de nature exprimé par celui qui voulait « goûter l’air qu’ont respiré les bêtes sauvages », ne peut laisser indifférent. Les fragments de ses écrits dessinent le fil de son parcours, tout en nous laissant, à chaque ligne blanche, l’impression d’un enchaînement sans cesse interrompu, de la mise en suspension d’une pensée qui laisserait place à la nôtre.Michel Blanchet