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La presse bretonne dans la collaboration

cadiou georges
Publication date 14/06/2022
EAN: 9782367850474
Availability Available from publisher
Ouest-Éclair (ancêtre de Ouest-France) et La Dépêche de Brest (ancien nom du Télégramme) étaient-ils collabos ? Ce livre revient sur une histoire méconnue pour rétablir quelques vérités essentielles.« Enfin, la France a un chef », exultait L’Ouest-Éc... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherYORAN EMBANNER
Page Count224
Languagefr
Authorcadiou georges
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date14/06/2022
Weight300 g
Dimensions (thickness x width x height)3.00 x 15.50 x 22.00 cm
La Dépêche de Brest et L'Ouest-Eclair sous l'Occupation 1940-1944
Ouest-Éclair (ancêtre de Ouest-France) et La Dépêche de Brest (ancien nom du Télégramme) étaient-ils collabos ? Ce livre revient sur une histoire méconnue pour rétablir quelques vérités essentielles.« Enfin, la France a un chef », exultait L’Ouest-Éclair dans son édition du 1er novembre 1940, affichant en une un portrait du maréchal Pétain. Même tonalité du côté de La Dépêche de Brest, qui, comme son homologue rennais, soutint sans réserve le régime de Vichy jusqu’à ses derniers numéros, en juillet-août 1944. Tous deux prônèrent la « Nouvelle Europe » sous domination allemande, fustigeant les « judéo-bolcheviques » ou les « enjuivés » de Londres et Washington.Antisémitisme, propagande et justifications des pires horreurs de la guerre ont traversé les colonnes de ces deux quotidiens, alors largement diffusés. Interdits de publication à la Libération pour collaboration active, ils furent remplacés en 1944 par Ouest-France et Le Télégramme de Brest, qui multiplièrent les signes d’allégeance au nouveau pouvoir gaulliste — sans doute pour mieux faire oublier les années noires.Georges Cadiou exhume dans cet ouvrage une page souvent ignorée, même par l’université, en s’appuyant sur des archives consultables et des faits documentés. Un travail rigoureux pour éclairer un passé que beaucoup auraient préféré taire.