Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Il portait l'ancre d'or

Marsaud de Labouygue Richard-Alain
Publication date 06/01/2021
EAN: 9782360931149
Availability Available from publisher
L’aventure était dans le Havresac de ces Marsouins qui parcouraient mers et océans des continents asiatique et africain. L’ardeur d’une jeunesse « instruite pour vaincre » et l’enthousiasme légué par leurs aînés les entraînaient à se surpasser pour c... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherVA PRESS
Page Count88
Languagefr
AuthorMarsaud de Labouygue Richard-Alain
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date06/01/2021
Weight180 g
Dimensions (thickness x width x height)0.60 x 16.00 x 24.00 cm
Colonel Christian Marsaud de Labouygue, de l'Infanterie coloniale (1880-1952). Attaché à la personne du Président de la République (1930-1940)
L’aventure était dans le Havresac de ces Marsouins qui parcouraient mers et océans des continents asiatique et africain. L’ardeur d’une jeunesse « instruite pour vaincre » et l’enthousiasme légué par leurs aînés les entraînaient à se surpasser pour continuer l’oeuvre coloniale grandiose, d’un Empire qui ne voyait pas se coucher le soleil. Christian Marsaud, comme ses camarades, a vécu grandement les événements qui se sont déroulés en Cochinchine, au Niger, avant de regagner la France métropolitaine pour participer à la Grande Guerre. Une blessure vint interrompre momentanément cette carrière, à défaut d’interrompre sa vie. Affecté au ministère de la Guerre, il devait travailler pendant deux ans, près du général Galliéni, dont il fut un des élèves. Il repart en opérations extérieures au Togo. Au ministère des Colonies et à l’École Militaire de Saint-Cyr, où il enseigna la géographie. De retour en opérations extérieures au Cameroun, il y rencontra le célèbre docteur Eugène Jamot, vainqueur de la maladie du Sommeil, propagée par la mouche Tsé-Tsé. Là, devait se terminer le temps de l’expatriation Outre-Mer. Il fut appelé à la Maison militaire de la Présidence de la République, à l’Élysée, par le Président Paul Doumer et confirmé ensuite dans ses fonctions par le Président Albert Lebrun, jusqu’en 1940. Il pressentait le désastre d’une défaite de nos armées et mettait un terme à sa carrière à Bordeaux, avec le sentiment, comme son père, le colonel d’Etat-Major-Général Joseph Marsaud, la veille de sa mort, qui s’était écrié : « J’ai fait mon devoir. Vive la France?! » Christian Marsaud de Labouygue, repose au Pays Basque, sa seconde patrie, qu’il aimait tant, dans le petit cimetière de Saint-Pierre-D’Irube.