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Nicolas Marsolet, un Chevalier normand au Québec

Nizery François-Pierre
Publication date 25/08/2016
EAN: 9782360133833
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Né à Rouen au XVIIe siècle, selon toute vraisemblance, Nicolas Marsolet fut l'un des jeunes gens recrutés par Samuel Champlain pour l'accompagner au Québec et l'aider à tisser des liens avec les tribus indiennes en les y insérant pour servir d'interp... See full description
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Common books attribute
PublisherRIVENEUVE
Page Count107
Languagefr
AuthorNizery François-Pierre
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date25/08/2016
Weight120 g
Dimensions (thickness x width x height)1.00 x 12.00 x 20.00 cm
Né à Rouen au XVIIe siècle, selon toute vraisemblance, Nicolas Marsolet fut l'un des jeunes gens recrutés par Samuel Champlain pour l'accompagner au Québec et l'aider à tisser des liens avec les tribus indiennes en les y insérant pour servir d'interprètes et de coureurs des bois. Ni vraie biographie, ni livre d'histoire, ce roman redonne toute sa vigueur au message de tolérance et de curiosité d'un gentilhomme du monde.Né à Rouen, ou dans ses environs, au tout début du XVIIe siècle, selon toute vraisemblance, Nicolas Marsolet fut l'un des jeunes gens recrutés par Samuel Champlain pour l'accompagner au Québec et l'aider à tisser des liens avec les tribus indiennes en les y insérant pour servir d'interprètes et de coureurs des bois. Nicolas Marsolet considéra très vite les Indiens algonquins et montagnais comme sa famille, au point de s'opposer à Champlain lorsque ce dernier voulut embarquer avec lui vers la France trois jeunes filles montagnaises, dénommées Foi, Espérance et Charité. C'est ainsi qu'il osa s'allier avec les Anglais qui occupèrent le Québec de 1629 à 1632, les frères Kirke. De retour en France, Marsolet se maria en 1636 à Rouen avec Marie Le Barbier. Il retourna peu de temps après en Nouvelle-France, où il travailla pour la Compagnie des Cent- Associés, grâce à laquelle il devint propriétaire de beaux terrains, puis pour la Compagnie des Habitants dont il fut l'un des fondateurs avant de s'en détacher, lui reprochant son goût du luxe. Ne comptant plus que sur ses propres ressources pour pratiquer ses activités commerciales (essentiellement la traite de fourrure), il fut surnommé le " Petit Roi de Tadoussac ". Ni vraie biographie, ni livre d'histoire, ce roman redonne toute sa vigueur au message de tolérance et de curiosité d'un gentilhomme du monde.