Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Centurions

Sanders Alain
Publication date 04/06/2024
EAN: 9782353746552
Availability Available from publisher
Trente baroudeurs de l’Indochine françaiseLes trente baroudeurs racontés dans ce livre – trente parce qu’il faut bien faire un choix – ont tous choisi leur camp : celui du courage, de l’insécurité, de la fidélité, des copains. C’est l’Indochine de ce... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherDUALPHA
Page Count218
Languagefr
AuthorSanders Alain
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date04/06/2024
Weight180 g
Dimensions (thickness x width x height)0.00 x 14.80 x 21.00 cm
30 baroudeurs de l’Indochine française
Trente baroudeurs de l’Indochine françaiseLes trente baroudeurs racontés dans ce livre – trente parce qu’il faut bien faire un choix – ont tous choisi leur camp : celui du courage, de l’insécurité, de la fidélité, des copains. C’est l’Indochine de ceux qui ne vivaient pas la guerre depuis le Paramount à Hanoï ou le Continental à Saïgon. Mais dans la boue, le sang et les rizières.Certains sont très connus et donc incontournables. D’autres le sont moins. Comme Christian Simenon, le frère de Georges Simenon, tombé au combat. Ou Pierre Paulot, sergent-chef au 8e ?bataillon de choc, tué à Diên Biên Phu. Il y avait des Corses, des Bretons, des Lorrains, des gens des Landes, des Pyrénées, de Provence, des Espagnols, des fils de la rizière (comme le colonel Leroy), des pieds-noirs, des natifs d’Indochine (comme Romain-Desfossés), etc. Tous fils de France.On ne leur demandait pas de faire la guerre – ou seulement de ne faire rien que la guerre –, mais aussi de construire. Ils s’y donnèrent corps et âme. Sans jamais être vraiment soutenus par la métropole. Ils se sont battus. Et bien battus. Alors leur histoire. Pour témoigner qu’ils ne sont pas tombés « pour des prunes ».« Avec passion et une très forte empathie, Alain Sanders a peint une galerie de portraits d’une trentaine de combattants français en Indochine qui, entre 1976 et 1954, prirent part à la lutte contre le Viêt-Minh. Certains, comme le lieutenant-colonel de Sairigné ou l’incroyable adjudant-chef Vandenberghe, furent tués au combat pendant que d’autres, à l’instar des renommés Bigeard ou Château-Jobert, devaient encore contribuer pendant de longues années à la gloire de l’armée française. Dans ce musée de la mémoire, les célébrités, comme les inconnus tracent ensemble le long sillon de l’engagement français pour l’Indochine, alors que de très riches annexes décrivent notamment la présence de “baroudeuses” dans cette guerre de civilisation » (Philippe Maxence, Le Figaro Histoire).