Cette carrière plusieurs fois distinguée au coursde quatre décennies a fait l’objet de quelquestravaux universitaires, d’articles, mais d’aucunepublication3. L’exposition puis la vente de sonfonds d’atelier le 17 novembre 20004 à Drouota attiré nombre d’amateurs, et ses créationsatteignent aujourd’hui des cotes importantes.Alors que les galeries et les collectionneurss’emparent des échantillons encore disponibles,elle est peu représentée dans lesinstitutions publiques, si ce n’est au Musée desArts Décoratifs de Paris. Elle figure dans l’expositionconsacrée à l’UAM au Centre Pompidouen 2018, mais à nouveau au second plan. Et, sison nom apparaît dans de nombreux travauxrécents sur la période de l’entre-deux-guerres,il manque encore une exploration critique deson oeuvre. Sans la couper de ses inspirationset des liens qui l’unissaient aux créateurs deson époque, il est désormais plus qu’urgent demettre l’oeuvre d’Hélène Henry au premier plan.En pleine lumière.