Rien d’étonnant de globalement retrouver Daniel Bot, ses nouvelles, poésies, etc. avec cette toutefois 16ème publication légèrement voulue décalée, orientée en avant par rapport aux précédentes.Avec « La limite de résistance des attelages », on peut y lire l’intention de l’auteur à vouloir faire attelage avec le lecteur pour qu’il se trouve quasiment avec lui, dans son présent, avec sa main dans la sienne en train de dérouler, projeter l’écriture des récits qui y figurent.Ceci reste une démarche qui conserve une part d’aléatoire et qui dépend expressément de la capacité du lecteur à se laisser emmener dans l’univers autant parfois terre à terre que d’autres fois poétique où l’auteur lui propose d’entrer en sa compagnie.