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Commentaire au Traité de la naissance dans la Terre pure de Vasubandhu

Ducor Jérôme, Ducor Jérôme, Tanluan
Publication date 19/02/2021
EAN: 9782251450896
Availability Available from publisher
Le Commentaire de Tanluan est la toute première monographie proprement chinoise à aborder le courant de la Terre Pure (Jingtu), cette tradition caractéristique du bouddhisme du Grand Véhicule consacrée au champ de buddha Sukhavati (« La Bienheureuse ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherBELLES LETTRES
Page Count474
Languagefr
AuthorDucor Jérôme, Ducor Jérôme, Tanluan
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date19/02/2021
Weight552 g
Dimensions (thickness x width x height)3.00 x 12.40 x 19.30 cm
Le Commentaire de Tanluan est la toute première monographie proprement chinoise à aborder le courant de la Terre Pure (Jingtu), cette tradition caractéristique du bouddhisme du Grand Véhicule consacrée au champ de buddha Sukhavati (« La Bienheureuse ») et aux différents moyens de la contempler ou d’aller y naître. L’originalité de Tanluan est de se situer à une époque charnière où sont déjà traduites les œuvres majeures du canon bouddhique, mais avant la systématisation des doctrines en différentes écoles, lui-même ne se réclamant d’aucune lignée magistrale. Cette indépendance lui permet de développer une interprétation de la Terre Pure radicalement subitiste, avant même les fameux développements du Chan (Zen), puisque Tanluan affirme que quiconque peut obtenir le nirvana sans trancher les passions, y compris les pires criminels.L’originalité de Tanluan tient aussi à son aptitude à développer une argumentation conforme à l’exégèse bouddhique traditionnelle tout en captant l’attention du lecteur chinois par de multiples allusions à sa culture autochtone, y compris les Classiques.Après sa mort cependant, Tanluan tomba rapidement dans l’oubli, peut-être parce que sa réputation de médecin taoïste l’avait emporté sur celle de maître bouddhiste. Mais son Commentaire sera redécouvert sept siècles plus tard au Japon, où il jouit depuis d’une faveur extraordinaire dans les milieux concernés.