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Œuvres poétiques. Tome II : Poèmes épistolaires (II, 2, 1-8)

Grégoire de Nazianze (Saint), Bénin R. Michelle
Publication date 04/10/2021
EAN: 9782251006420
Availability Available from publisher
L’édition des Poèmes épistolaires de Grégoire de Nazianze occupe dans la CUF le tome II d’une Série qui devrait rassembler les quelque 18.000 vers subsistants de l’œuvre poétique du Cappadocien. Ce second volume se rattache au Tome I, 1 (publié en 20... See full description
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Common books attribute
PublisherBELLES LETTRES
Page Count400
Languagefr
AuthorGrégoire de Nazianze (Saint), Bénin R. Michelle
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date04/10/2021
Weight398 g
Dimensions (thickness x width x height)2.10 x 12.50 x 19.20 cm
L’édition des Poèmes épistolaires de Grégoire de Nazianze occupe dans la CUF le tome II d’une Série qui devrait rassembler les quelque 18.000 vers subsistants de l’œuvre poétique du Cappadocien. Ce second volume se rattache au Tome I, 1 (publié en 2004 par J. Bernardi, A. Tuilier et G. Bady), lequel contient essentiellement les deux autobiographies (2583 vers) du poète, tandis que le Tome II se compose de 8 épîtres (2025 vers). Le Tome I fournit l’importante étude de la tradition manuscrite qui doit servir de support philologique à l’ensemble des volumes et doit figurer de façon abrégée dans chacun des volumes suivants.Les Tomes I et II rassemblent donc les poèmes les plus autobiographiques de Grégoire, les Poemata de seipso et les Poemata ad alios, épîtres qui sont des missives authentiques, mais contiennent de nombreux éléments personnels, même quand le poète revêt l’identité d’un autre, tout en renvoyant constamment à son ego, comme le peintre « en abîme » dans son œuvre. Les épîtres en vers de la présente édition peignent un tableau, riche en couleurs, de la société aristocratique de l’Empire d’Orient, aussi bien dans les provinces d’Asie qu’à Constantinople. On ne peut oublier, par exemple, la vibrante évocation des moines et le vivant récit des « jeux » du cirque ou de l’hippodrome. Les épîtres présentent en effet un haut niveau de sophistication esthétique, dû à un culte fervent de la Poétique classique, avec ses lois, ses tropes et ses multiples figures.