Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Apogée et mort de la IVe République

La Gorce Paul-Marie de
Publication date 21/02/1979
EAN: 9782246007425
Availability Available from publisher
De 1952 à 1958 se jouent des parties décisives, dont l'avenir de la France est l'enjeu. De 1952 à 1954, la France semble à son apogée. Le niveau de vie y progresse régulièrement, l'agitation sociale y est presque nulle, les caisses de l'Etat sont ple... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherGRASSET
Page Count622
Languagefr
AuthorLa Gorce Paul-Marie de
FormatOther book format
Product typeBook
Publication date21/02/1979
Weight845 g
Dimensions (thickness x width x height)0.00 x 15.00 x 23.00 cm
1952-1958
De 1952 à 1958 se jouent des parties décisives, dont l'avenir de la France est l'enjeu. De 1952 à 1954, la France semble à son apogée. Le niveau de vie y progresse régulièrement, l'agitation sociale y est presque nulle, les caisses de l'Etat sont pleines. Lorsque Mendès France arrive au pouvoir, il suscite des espoirs que personne, depuis la Libération, n'a su faire naître. Après la chute de son gouvernement, son action trouve un prolongement dans l'apparition d'un véritable courant d'opinion, le "mendésisme".Ce raisonnement dissimulait des trous d'ombre : la guerre d'Indochine, certes, se termine. Les crises tunisienne et marocaine semblent résolues et montrer que l'inéluctable décolonisation se déroulera relativement calmement désormais. Mais bientôt commence le déclin de la IVe République, confrontée à la guerre d'Algérie.La confusion était inextricable, l'engrenage happait les uns après les autres tous les acteurs, les pions et les témoins de cette guerre fratricide. D'une façon magistrale, l'auteur montre comment, à bout de souffle, les représentants d'une France profondément meurtrie s'en remirent à de Gaulle. De tous côtés, par un formidable malentendu, on se rallia au Général, pour des raisons parfois complètement contradictoires. Que l'homme du 18-Juin eût lui-même une idée de la France, ceux qui firent appel à lui en mai 1958 semblaient n'y avoir pas pensé.