Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Moi Sylla, dictateur

Simiot Bernard
Publication date 02/04/1993
EAN: 9782226063380
Availability Available from publisher
Avant de devenir l'immortelle Marguerite Gautier de Dumas fils et l'inoubliable Traviata de Verdi, qui fut réellement cette « fleur du mal » nommée Marie Duplessis ?« Si elle eût été laide, écrit Théophile Gautier, elle ne serait peut-être pas morte ... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherALBIN MICHEL
Page Count352
Languagefr
AuthorSimiot Bernard
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date02/04/1993
Weight475 g
Dimensions (thickness x width x height)14.40 x 14.50 x 22.50 cm
Avant de devenir l'immortelle Marguerite Gautier de Dumas fils et l'inoubliable Traviata de Verdi, qui fut réellement cette « fleur du mal » nommée Marie Duplessis ?« Si elle eût été laide, écrit Théophile Gautier, elle ne serait peut-être pas morte ; elle serait restée dans son village... Mais il est si difficile de rester pauvre à une paysanne que la nature a eu l'inhumanité de faire grande dame. » Libre, fantasque, généreuse, d'une distinction inattendue dans le monde des « hautes coquines », d'une gaieté « plus triste que le chagrin », ayant conquis Paris pour mourir phtisique à 23 ans, Marie Duplessis ne pouvait que séduire Micheline Boudet. Avec la sensibilité et l'esprit qu'elle met dans tout son art de comédienne et d'écrivain, elle éclaire d'un jour nouveau la vie brûlante de la courtisane la plus adulée de son temps, qui se sentit pourtant si mal aimée...Plus qu'une biographie, mieux qu'un roman, suivant l'ascension de la petite grisette dont l'élégance éblouit bientôt le tout-Paris de Louis-Philippe, Micheline Boudet nous entraîne sur les Grands Boulevards où s'entrecroisent « beaux oisifs », dandys, hommes de lettres, « marchandes de sourires » et banquiers, sur lesquels règne, fragile et fascinante, la belle « desesperanza ».A lire son histoire telle que nous la raconte Micheline Boudet, on se prend à regretter que Marguerite Gautier ait si longtemps éclipsé la véritable Dame aux camélias.